Examen du Film The Guardians - Films sont noient dans la mythologie, ces jours-ci, au point que la moitié des franchises plus populaires ont besoin de lire les livres ou bandes dessinées, ou au moins demander à votre ami nerdiest qui l'enfer qu'alien violet dans le générique de fin est censé pour être. Films pour enfants ont été en grande partie exemptées de cette tendance épuisante, mais maintenant nous avons montée des gardiens, qui prend les personnages assez simples qui existent dans le domaine public--Santa Claus, la fée des dents et autres--et leur attribue une histoire rigoureuse et la structure hiérarchique, tout compte fait, avec le genre de fantaisie flottant qui est censé pour empêcher de sentir des devoirs supplémentaires.
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| Examen du Film The Guardians |
Il ne fonctionne pas. Montée des gardiens a des moments de véritable merveille et pathos et quelque animation spectaculaire qui définit une nouvelle barre de texture en CGI, mais il est tellement enveloppé dans l'établissement de sa mythologie bidon que c'est une histoire réelle est dangereusement fragile. Nous sommes posées à croire non seulement que Jack Frost (doublé par une déchiqueteuse à Chris Pine) est plus que la figure de style utilisée dans les chansons de Noël, mais qu'il est partie intégrante dans la préservation de la magie de l'enfance et digne de rejoindre les « gardiens », actuellement composés de Santa (un Alec Baldwin russe aux accents), la fée des dents (Isla Fisher), le lapin de Pâques (Hugh Jackman) et le marchand de sable (muets). Le groupe de leur équipe contre Pitch (Jude Law), alias le boogeyman, qui a l'intention de cesser de croire dans les gardiens, sans raison valable au-delà d'être franc-haut mal ruiner l'enfance et les enfants.
Bien sûr, nous sommes tous familiers avec la lecture à une équipe des alliés improbables travailler contre un mal plus grand--en fait, accent britannique de Pitch et longues capes lui faire presque identique pour Loki des Vengeurs, une coïncidence qui ne fait que gardiens se sentir comme un effort de serrage pour faire les Vengeurs pour enfants. Mais alors que la dynamique entre les personnages dans les gardiens peut-être se sentir authentique dans les livres originaux de William Joyce, adaptation du scénario de David Lindsay-Abaire se précipite à travers elle et fourre dans le dos histoire de Jack Frost trop tard dans le film sentir le personnage aussi important que le film a besoin qu'il soit. Bien qu'il y tracer des discussions sur un petit garçon (Dakota Goyo) qui est le dernier à croire dans les gardiens, ainsi que sentiment de Pitch d'isolement, l'histoire est censée être de Jack, puisqu'il vise l'acceptation par les gardiens et par les enfants il cadeaux avec jours de neige occasionnelles. Mais alors qu'ailleurs, l'animation est magnifique, les expressions du visage de Jack sont étrangement muets, et performance du pin ne peut pas aller assez loin de Jack Frost de faire sentir jusqu'au niveau de l'autres, véritablement emblématiques mythiques.
Il se sent ridicule même écrire que, bien que, parce que tout l'intérêt de ces caractères est qu'ils sont tout ce que vous voulez qu'ils soient--enfants juifs puissent grandir ne croyant pas à Santa, parents financièrement attachés peuvent en finir avec la fée des dents entièrement et pour autant que je sache enfants grandissant dans des climats nordiques hivernales croyait ardemment au Jack Frost. Montée des gardiens est constamment mis à rude épreuve pour donner importance mythique aux caractères qui tout simplement n'avez pas besoin eux, et alors que l'animation de ces caractères est belle--et puis puissance de croyance enfantine comme se déplaçant comme dans les ouvrages classiques comme le Express--polaire il ne suffit pas à égayer les machines de meulage de ce film.
